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 « Vous avez des souliers de bal et les pieds léger, moi j'ai le cœur lourd. »

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Griffe de Kiel
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Griffe de Kiel


Messages : 39
Date d'inscription : 25/10/2013

« Vous avez des souliers de bal et les pieds léger, moi j'ai le cœur lourd. » Empty
MessageSujet: « Vous avez des souliers de bal et les pieds léger, moi j'ai le cœur lourd. »   « Vous avez des souliers de bal et les pieds léger, moi j'ai le cœur lourd. » I_icon_minitimeDim 9 Nov - 16:56

L'hérétique n'est pas celui que le bûcher brûle, mais celui qui l'allume.. ; Francis Bacon.

Mariah Farenh

Prénom & Nom : Farenh Mariah dit Maze.
Age : En dessous de la vingtaine.
Sexe : F
Race : Humain.
Lieu de naissance : Une île d'on le nom vous serait étranger.
Métier : Navigatrice.
Camp : Pirate.
Pouvoir : Aucun.
Description Physique
Ce qui ne fait pas de bruit n'intéresse personne.

« Moi j'ai les mains sales. Jusqu'aux coudes. Je les ai plongées dans la merde et dans le sang. Et puis après ? Est-ce que tu t'imagines qu'on peut  gouverner innocemment ? »

Elle pourrait très certainement ne jamais marquer votre esprit, vous voulez savoir pourquoi ? Parce que tout le monde s'en fout de cette fille qui parle pour ne rien dire et qui ne connait rien d'autre que son île, qui est banale, commune. En apparence seulement, suffit d'observer un peu.

Une peau pale presque translucide typique de la vie en intérieur, mais détrompez-vous cette dernière peu prendre assez facilement un teint plutôt halé. Une peau qui aurait pu être parfaite si certain détail ne venaient pas l'entaché, comme ce tatouage sur la nuque, celui de l'île aux Serfs, un cerf à l'air inquiet à demi-cabré avec une couronne autour de l'encolure, du noir le plus profond. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Viennent ensuite les marques d'apprentissage, quelques cicatrices qu'elle ne cache pas, ce sont les vestiges de sa mémoire, de son passé. La plus grande celle que l'on ne peut pas rater par de la pointe de son épaule droite jusqu'à la pointe de sa hanche gauche, plutôt épaisse, tendis que d'autres très fine couvrent son dos de manière plus aléatoire. Tout cela ne concernait que son dos passons maintenant à un endroit plus difficile à dissimuler celle qui se trouve au dessus de sa poitrine, bien que ça ressemble plus à une scarification qu'à autre chose, on peut lire We Shall Wake to Sanity, qu'on peut traduire par : Nous allons éveiller la raison. Nous reviendrons sur ce point plus tard. Elle se plait d'ailleurs à la rouvrir de temps en temps elle ne peut pas oublier.

A présent on pourrait passer à sa morphologie en général, de taille plutôt moyenne, fine, trop même, il est facile de reconnaître les gens qui ont souffert de la faim à un moment de leur vie, elle fait partie de ces gens là, aux côtes apparentes, aux os visibles. Des bras fins sans muscle, de même pour ses jambes qui elles par contre sont très légèrement musclées.

Son visage se trouve encore dans l'enfance, toujours accompagné d'un air mi-moqueur mi-enfantin, elle ne sourit pas ou très peu, elle ne rit pas non plus. Et quand elle pleure ça sera toujours silencieusement comme si cette eau salée sortait tout simplement de son corps. Quand à ses cheveux, couleur aile de corbeau, un carré court, légèrement plongeant, rarement entretenu, elle aime arborer un petit air sauvage.

Parlons de ses yeux maintenant, bleu d'un bleu peu commun, d'une couleur presque électrique, très expressif et toujours grand ouvert dans l'attente d'un danger, parfois la lueur de la tristesse passe au travers, souvent accompagné d'un air compatissant, pour elle-même. Parfois même abîmés par la fatigue, après tout elle se contente du minimum de sommeil qu'elle peut.

Quand au vêtement là aussi elle se contente de peu, n'allez pas croire que c'est une nudiste ou dérivé, certes la nudité ne la dérange pas du tout ( Je vous entends penser que si ce balader à poil était légal vous apprécierez la vue.. ). Elle arbore tout simplement une chemise blanche, assez large pour que deux comme elle puisse tenir à l'aise, elle la laisse ouverte le plus souvent, sa poitrine dissimulée derrière une bande. Pour le bas elle se contentera d'un jean noir. Pas de jupe ou de robe pour la demoiselle, elle n'aime pas spécialement faire fille et si elle cache ses cheveux sous une casquette on la prend aisément pour un homme. Et pour finir niveau chaussure elle n'est pas difficile, elle n'en porte pas.

Et voilà donc Mariah, marquée par la vie qu'elle a vécu sur l’Île aux Serfs, le tatouage des mal-nés et les marques de la rébellion qui depuis ces dernières années a secoué pas mal l'île.

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10 paragraphes, 880 mots, 6121
Description Psychologique
Des souffrances pour mieux vivre.

« Dans chaque homme, il y a deux chiens qui se battent. L'un est bon, l'autre est mauvais. Tu sais lequel gagne ?
Celui que tu nourris le mieux. »

Peut-être n’ai-je jamais, vraiment.. Souffert. Était-ce le coût de la vie en elle-même ? Était-ce un douloureux souvenir, celui d’un amant au sourire mielleux ? La souffrance était, est, sera, une chose intouchable que l’on ne peut atteindre. Elle ferait presque rêver, le désir de la posséder ne s’essouffle jamais. Mais quand on la possède c‘est comme d’essayer d’arracher une catin de son client, ça s’accroche et ça reste. Que faire ? Attendre ? Souffrir en serrant les dents ? Essayer de partager sa douleur dans le mauvais sens ?

Et c’est comme ça.. C’est salop, c’est mauvais, c’est.. Horrible. Mais la souffrance est plaisante, sa compagnie berce les mœurs pour mieux faire mal autre part. La souffrance, c’est sacré. Nous sommes tous masochistes. Certains diront que non, ce sont des menteurs. Car je n’ai pas honte d’être masochiste, non je le revendique car j’assume. Cette pensée me fait souvent sourire. Masochiste vers l’avenir. Nous aimons nous faire plaindre, nous aimons être le centre d’intérêt car nous sommes de rats, de la vermine ; on en veut encore et toujours. On aime promettre et se dérober dans une habile pirouette. Je vous laisse vous détruire petit à petit, c’est.. Distrayant. Saloperie de catin, va..

Je cède souvent sous mes propres caprices, c’est un vice d’on je ne parviens pas à me détacher. Nous avions – et nous aurons – les doigts entremêlés marchant vers le destin. Je ne renonce à aucune partie de moi-même comme ça ; je la chérie, je trouve la faille et je la rejette. J’essaye constamment d’obtenir un semblant de plaisir. C’est tout.

Anarchiste ? Révolutionnaire ? Certainement pas. Je me qualifierais dans un certain sens de dictatrice ; même si vous restez libre de penser. Je suis sournoise pas malade.

La médiocrité est un point insensé de la bêtise des êtres-vivants en général, on plonge, on coule. Sans vraiment pouvoir sortir la tête hors de l’eau. C’est tellement.. Pitoyable. C’est tellement con,. On a envie de mourir de honte après ça. Cependant, je garde la tête haute, rétorquant les insultes, enfermée dans mon narcissisme et ma grandeur. Un exercice qui pourrait vous prendre au dépourvu, comme il me distrayait, voir m’amusait. C’est aussi effrayant que de rire de soi-même, de rire des autres, de ceux qui vous ont tendu la main. Refusez la d’un geste sec, un brin provoquant et le regard brillant, celui de Renart ( Renart étant le nom d’un personnage, son orthographe est donc différente ) quand il s’apprête à dérober la nourriture du paysan qui meurt de faim. C’était certainement mon héros préféré, même si je préfère le pêché d’Ulysse, celui de goûter à la magicienne en oubliant les nuits passées avec sa femme. Ou bien le narcissisme d’Achilles, porté sur une vague de grandeur que le dépassait et qui finit par l’engloutir dans des ténèbres insondables.

A quel point la grandeur me dépasse ? Je l’ignore.

Je peux peut-être vous sembler facile en surface, mais dure à deviner, non ? Croyez-vous en Dieu ? Moi, je me contente de croire en moi, c’est amplement suffisant. Vous verrez que je n’obéis qu’à moi-même, les ordres ne pénètrent même pas mon esprit. Non, ordonnez moi quelque chose et je vous ignorerai superbement, que cela vous en semblera plutôt déroutant.

Vous voyez un iceberg ? Il y a la face visible, celle qui est belle, magnifique, attirante. Et celle que l’on ne voit pas, dure, blessante et dangereuse.

Voyez-vous, sans me vanter, je suis d’un physique qui me semble plutôt satisfaisant, du coup les gens ne se méfient pas de cette gueule d’ange, surtout quand cette dernière peut me permettre d’obtenir ce que je veux. Grave erreur mes agneaux, grave erreur. Car sous mon regard séducteur, se cache la partie mauvaise, celle qui domine, je pense souvent que quelques coups de cravaches peuvent remettre dans le droit chemin, si vous me suivez.. Personne ne se trouve au-dessus de moi.

Disons que la cruauté peut être quelque chose qui me satisfait, c’est à la fois distrayant et poétique. Profond, dirais-je. Car le mot cruel – si beau, si intouchable, la perfection en elle-même.. – est un art. Il faut parvenir à le toucher. J’y suis parvenu avec les années et me voici maîtresse de cette personnalité.

Personne n’atteindra mon niveau, peut-être seulement dans vos rêves, peut-être pas. Car j’habite souvent les rêves des gens.

Et pourtant je ne m’attache pas aux gens, vous devenez rapidement de la poussière que je balayerais sans sentiment. Vous allez mourir un jour, avant moi – bien entendu, vous redeviendrez un simple morceau de ciel et je continuerai à vivre.

Aimer dites-vous ? Je n’aime pas, je ne déteste pas non plus, ce sont les deux même facettes d’un seul sentiment. Passez une simple nuit avec moi, vous ne serez qu’une stupide forme de revenu, une fois que vous m’aurez tout donné, je m’en irais, car plus rien ne me retiendra. Certaines vous diront qu’en amour je suis parfaite, que je ne préoccupe que d’elles. C’est faux.. Il ne s’agit que d’une forme d’égoïsme bien à moi.

Car oui, je suis égoïste et orgueilleuse, pourquoi nier la vérité ? Je me fiche de ces richardes, de mes amants dévoués corps et âmes ! Qu’ils pourrissent en enfer pour ces plaisirs d’une nuit, sans attente de lendemain.

Je peux revendiquer des choses, moi.. Je n’ai pas le mérite de pouvoir bouger des montagnes, car je ne suis qu’une humaine, de plus je sais très bien que je peux crever à chaque instant de ma vie, finissant en enfer avec les gens que je déteste comme je me hais.

Vous découvrirez, peu à peu, un être qui ne vous plaira que très peu.
Histoire de Farenh Mariah

« Chacun de nous a sa blessure : j'ai la mienne
- Toujours vive, elle est là, cette blessure ancienne -
Elle est là, sous la lettre au papier jaunissant
- Où on peut voir encore des larmes et du sang ! »

Je me présente : Farenh Mariah, née un jour froid de Décembre, sur une île perdue au large de Dieu sait quelle mer, le sept il me semble bien, ce jour n’a aucune importance. D’une île qu’on nomme Port d’Hiver, au climat malgré le nom plutôt doux, avec des hivers assez long mais des étés torrides, île principalement minière..

Je ne me souviens guère de mes parents si ce n’est de ma mère, une grande brune plutôt mince, à la peau basanée par le travail en plein air. J’ai eu pas mal de frères et sœurs grâce à elle, dès que la place était libre un autre arrivait. En tout j’ai eu six frères et sœurs, ça fait beaucoup non ? Aphaia, Luth, Marian, Roranh, Dyr, Bran.. Le plus vieux devais avoir huit ans, le plus jeune deux. A vrai dire tout cela n’a jamais eu d’importance réelle dans ma vie. J’étais juste l’aînée reléguée à la surveillance des plus jeunes. A peine ma mère était libérée du fardeau de la gestation, que secrètement un autre était conçu.

Mais c’est certainement ma mère qui m’a le plus marqué, le dos voûté par le travail, les articulations raidies par l’effort, un sourire à en faire pleurer le diable. De la passion et des larmes pour chacun de nos actes.. Puis elle est morte.

Je n’avais pas la prestance de ma mère, j’étais plutôt commune avec mes cheveux noirs toujours emmêlés comme pas possible et mes vêtements pleins de poussière et de boue. Je n’avais jamais prêté attention à mon apparence. Je n’étais qu’une gamine des rues semblable à cent autres. Je courais partout où je voulais, j’ai erré des années dans la poussière des chemins et l’herbe des prés.

Je ne me souviens pas d’avoir pleuré un seul instant, elle était tout simplement redevenue un morceau de ciel bleu et tout le monde à continuer à vivre.

Même quand elle était là nous n’étions ni gâter, ni même riche. J’avais appris durant mon enfance que l’argent n’était que pour les hommes qui frayaient avec l’illégalité, qu’une personne honnête n’a guère besoin de quelques piécettes ou des billets verts.

Je dû me résoudre secrètement à travailler, en premier lieu à secourir les blesser que recrachaient les mines à chaque explosion à cause du charbon. Puisque qu'il faut bien vivre ! Puis plus tard je m’occupais des chevaux tirant les wagons remplis de charbon.

En rentrant je me sentais suivie, en effet un chiot noir et feu typé chien de berger m’avait suivi depuis la mine et caracolait gaiement derrière moi, réclament certainement à manger, chose que je n’avais pas ces derniers jours. Très vite elle s’imposait comme animal de compagnie dans le foyer, en grandissant elle prendra le nom de Louve.

Je vais vous raconter quelque chose..

Je me trouvais dans les galeries, l’air était saturé par la poussière de charbon le rendant irrespirable, je m’occupais d’un cheval qui était tombé à genoux, peinant à le faire se relever. Au loin j’entendis comme un bruit sourd, quelque chose n’allait pas. Il parvenait après de longues minutes à se relever puis une autre détonation et tout tremblait. L’animal piaffait de terreur, j’ai peiné à le retenir avant de me lancer dans la galerie, on ne voyait pas grand-chose. Puis à quelques mètres de la sortie, il refusait d’avancer. Je le tirais par la bride, les larmes aux yeux, n’importe qui méritait de sortir vivant de cet enfer.

Je me souviens de son regard, celui de la bête qui lève ses yeux vers la personne qui pourrait la sauver avec une naïveté animale, qui semblait hurler :
« J’ai servi toute ma vie les tiens, ne m’abandonne pas. »
Mais il y eu quelque chose, qui fait qu’un animal ne parlera jamais notre langue et nous serons toujours incapables de les comprendre. Et la femme que je suis dans sa stupidité naturelle, n’entendit pas.


    I. Les épreuves, l’apprentissage et les coups de ceinture.

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    II. Il y'a les pièges, les arnaques, quelques âmes encore pures.

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    III. Et j'avais la larme à la barre, du sang dans ma cellule.

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    IV. Un océan de vagues à l'âme quand j'ai cru t'avoir perdu.

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    V. Et dans mon cœur c'est la débâcle, j'aime tant la vie, ça me tue.

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Fiche écrite par Maze Farenh.M / L'Envol141 © Codée par Heine / Castiel D. Constantine
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